Dans sa dernière analyse des marchés résidentiels, BPCE Etudes et Prospectives anticipe un « impact limité » de la crise sanitaire sur les prix des logements, même si l’activité transactionnelle devrait pâtir plus nettement de l’environnement économique actuel et à venir. En moyenne, le marché confirme donc sa robustesse mais de nouvelles tendances apparaissent.
L’activité se maintient bien à un niveau élevé mais semble se déplacer rapidement vers les villes de périphérie, sur l’Ile-de-France notamment. De même, les prix ont cru dernièrement plus nettement dans les communes qui ont connu les plus faibles progressions (à l’exception de Lyon) lors des dernières années.
Certaines métropoles, telles Lille et Marseille, ont également enregistré récemment « une forme de rattrapage » des prix, ainsi que quelques villes importantes telles Nancy, Rennes ou Clermont-Ferrand. Il semble encore prématuré à ce stade d’attribuer ces observations à la seule crise sanitaire.
En effet, un mouvement vers la Province et en particulier vers des villes moins identifiées comme des bassins d’emploi dynamiques et donc aux prix résidentiels plus abordables semble se concrétiser depuis quelques années déjà. Encore une tendance structurelle que le Covid semble accélérer !
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« L’immobilier résidentiel en France 22 Décembre 2020 – Conjoncture et perspectives du marché à horizon 2022 »
Analyses, infographies, chiffres clés.
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