Dans l’étude menée par BPCE Solutions immobilières sur le coliving, Géraud Le Merrer nous a expliqué comment les résidences de Sharies font face à la crise sanitaire actuelle : « Le modèle Sharies se montre résilient avec un impact situé entre 5% et 10% sur son taux d’occupation, initialement à 100%, pour nos deux sites situés à Marseille et à Nancy ».
Pensé pour la vie en communauté tout en préservant la vie privée de ses membres, le coliving permet bien de combattre l’isolement qui peut s’avérer particulièrement pesant pendant cette période de crise sanitaire, tout en limitant les risques de propagation de l’épidémie.
L’offre de services s’est adaptée à cette situation inédite au travers de la fourniture à tous ses résidents des savons de Marseille et en nouant des partenariats pour élargir les livraisons de produits alimentaires régionaux.
Seules les ouvertures de ses sites franciliens prévus dans les prochains mois sont légèrement plus impactées, puisque les chantiers et les travaux d’aménagement sont au ralenti.
Pour Géraud Le Merrer, le recours massif au télétravail actuellement observé devrait « encore un peu plus faire prendre conscience aux actifs d’aujourd’hui qu’il est possible de quitter Paris pour aller s’installer en région, confortant les convictions stratégiques de développement suivie par Sharies reflétée dans la volonté d’une présence et d’un maillage avant tout régional. 40 000 m² représentant environ 1 400 lits répartis sur une quinzaine de sites sont ainsi sécurisés pour les quatre prochaines années, à travers tout le territoire.
“La demande est telle que les résidents de coliving qui sont rentrés dans leur famille ont préféré conserver leurs baux”.
Géraud Le Merrer, Head of Digital & Marketing chez Sharies
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