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Coliving et Covid-19 : avec la crise sanitaire, le coliving peut trouver une place de choix dans les portefeuilles des investisseurs sur le long terme. (étude BPCE Solutions immobilières)

Dans l’étude menée par BPCE Solutions immobilières sur le coliving, Maxime Armand a détaillé les impacts de la crise sanitaire sur les résidences de coliving gérées par Urban Campus. Concepteur et gestionnaire de deux sites de coliving situés à Madrid, Urban Campus affiche aujourd’hui un taux d’occupation proche de 90%, la quasi intégralité des résidents ayant opté pour un confinement « en communauté ».

L’opérateur continue à enregistrer des demandes d’hébergement qu’il a choisi de traiter une fois le dé-confinement décidé, afin de préserver la santé de ses actuels résidents. Au quotidien, la crise sanitaire a permis à Urban Campus d’adapter son offre de services, remplaçant les diners de communauté ou conférences par des activités communes virtuelles et mettant à disposition des résidents un soutien psychologique si besoin. En outre, le nettoyage des espaces communs a été accru et des partenariats locaux ont été noués, afin de proposer les livraisons de produits alimentaires de proximité.

Maxime Armand analyse ce moment comme une chance pour le résidentiel, et le coliving en particulier, de retrouver une place de choix dans les portefeuilles des investisseurs sur le long terme. « En Espagne, les propriétaires d’immeubles conçus pour des séjours courts de type Airbnb, nous approchent pour que nous réaménagions ces biens : cela leur permettrait de pérenniser leurs revenus locatifs avec un produit qui répond parfaitement à ce que recherchent les jeunes actifs ».

De nouvelles opportunités à saisir donc pour Urban Campus

“Le coliving est tout à fait adapté à l’occupation multi-usage que nous faisons actuellement de notre logement”. 

Maxime Armand Head of Digital & Marketing chez Urban Campus